Quand on parle de freelance, d’aucuns pensent uniquement à un travailleur indépendant qui n’est lié à aucune structure encore moins une juridiction donnée. Pourtant au Pays-Basque, ce professionnel peut créer son entreprise et avoir un statut juridique qui correspond parfaitement à ses activités. Appelé statut freelance, cette disposition permet à ces genres de professionnels d’avoir une légitimité auprès des institutions et pouvoir accéder à certains marchés à l’image des plus grandes filiales. Son acquisition requiert certaines démarches et il regorge des caractéristiques qui lui sont propres.
Les caractéristiques du statut freelance
Le statut juridique réservé aux freelances est dénommé EIRL (l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée). Contrairement aux autres juridictions, son montage est moins coûteux et les démarches administratives sont beaucoup plus souples. Son premier atout est que le patrimoine personnel du créateur est séparé des activités professionnelles dont il exerce. Il n’y aura aucune liaison en ces deux et vous aurez le choix entre le régime auto-entrepreneur et le portage salarial. En ce qui concerne ce dernier, le travailleur gardera toujours son indépendance, mais il sera considéré comme un salarié qui va profiter d’une assurance sociale et soumis à la fiscalité. Pour le régime auto-entrepreneur, le freelance va bénéficier d’une protection qui lui permet d’accomplir des services et mettre à l’abri sa richesse en cas de certains litiges.
Quel cadre juridique choisir en tant que freelance ?
Une fois entamé les démarches pour obtenir un statut free lance, le travailleur indépendant devra choisir entre les différents cadres juridiques mise en place par la loi. Au cas contraire, il ne sera pas reconnu par les intuitions compétentes et le démarrage de ses activités risquera de connaitre un retard. Ainsi, vous aurez l’option entre une société civile libérale (SEL), une société civile professionnelle (SCP), une société civile de moyens (SCM) et une société d’exercice libéral à responsabilité limité (SELARL). Du coup, vous pourrez choisir entre mettre en place une société ou se positionner en tant qu’investisseur individuel. Vous aurez même la possibilité de s’associer avec d’autres travailleurs libéraux avec qui vous partagez les mêmes centres d’intérêt.